#Haus für Poesie
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indizombie · 10 months ago
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Almadhoun told me that BDS came up during his work with Haus für Poesie. "In 2022, they wanted to add a clause to the contributors' contracts that stated that none of them supported BDS," Almadhoun said. "They only backed off after I told them they were being discriminatory, since I am Palestinian and the writers are Arab. Contributors to other anthologies had not been asked to sign a similar clause, nor to my knowledge has Haus für Poesie ever questioned anyone about their support for neo-Nazi or white-supremacist ideologies."
Meghna Singh, ‘Art Inhibition’, Caravan
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firstfullmoon · 8 months ago
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Carol Sansour, “A Censored Poem,” trans. Katharine Halls
Translator’s Note: The following poem by Palestinian poet Carol Sansour was slated to appear in Kontinentaldrift: Das Arabische Europa (Continental drift: the Arab Europe, 2023) but was among ten poems abruptly removed by German publishers Haus für Poesie. Edited by Ghayath Almadhoun and Sylvia Geist, the ground-breaking anthology features work by thirty-one poets writing in Arabic who are based in Europe. In the introduction to the anthology, Almadhoun writes: “bitterness is virtually everywhere in the texts [in the anthology]; you can touch it and yet it slips away like water through fingers.” In this poem, bitterness is mingled with a sense of wonder inspired by the spectacular escape of six Palestinian prisoners who dug their way out of jail using spoons in 2021. In another poem which was included in the anthology, Sansour writes: “In the East there is no home without war.”
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swedesinstockholm · 8 months ago
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24 juillet
je me suis forcée à aller cimetière pour me faire sortir et pas passer la journée dans ma chambre comme hier mais en attendant quand je suis dehors je travaille pas. en plus c'était bien hier dans ma chambre j'écoutais de la musique j'avais la fenêtre grande ouverte mon nouveau tapis sous les pieds et j'écrivais un texte pour le open call du haus für poesie. j'avais commencé à essayer de traduire marrons glacés en allemand mais j'ai laissé tomber, y avait trop de subtilités, ça change toutes les sonorités, impossible de traduire délicat, délicate parce que c'est pas genré en allemand et en plus c'est moche (zart). c'était clairement au dessus de mon niveau de compétence. j'ai passé la matinée à regarder des tutos et à lire des forums sur le microkorg pour savoir de quoi j'avais besoin pour m'en servir sur scène parce qu'ils demandent une fiche technique dans le open call mais j'ai pas trouvé de réponse claire alors j'ai écrit à r., après de longues hésitations, parce que j'avais peur d'être ridicule, ce qui à la réflexion est encore plus ridicule, mais je suis tellement intimidée par le monde de la musique que je me sens ridicule rien que d'avoir eu l'idée de vouloir utiliser un synthé. le monde des câbles et des adaptateurs et des prises et des machines me mystifie totalement et il me fait peur. ou plutôt il m'ennuie. il m'emmerde profondément. j'ai bien vu l'année dernière à genève quand on a fait le setup pour la perf avec ru. à quel point je servais à rien. alors qu'elle non plus à la base elle y connaissait rien. bref, il m'a dit qu'il me répondrait ce soir tard parce que grosse journée de papa et j'avais envie de lui envoyer mille coeurs.
hier j'ai découvert la signification du mot limérence et je crois bien que c'est de ça que je souffre. ça fait citron vert et ça fait liminal. entre deux. transitoire. sur le seuil. avec un goût acide mais frais. rafraîchissant. mouais. ils disaient que la différence avec l'amour c'est qu'en limérence on se soucie pas du bien-être de l'autre, c'est très autocentré, tout ce qui compte c'est de savoir si l'autre nous aime ou pas. l'autre différence c'est qu'on met l'autre sur un piédestal et qu'on voit pas ses défauts. ok. moi je pense que c'est juste une forme de tomber amoureuse spécifique aux gens qui ont vécu un trauma d'abandon/de négligence dans leur enfance et j'aurais pas appelé ça limérence, mais bon.
(je viens de voir un écureuil!) hier soir je suis quand même sortie prendre l'air et ça s'est transformé en promenade de deux heures, je crois que c'était la meilleure jusqu'à maintenant. à part la toute première le premier soir. j'ai vu le coucher du soleil au tempelhofer feld, je voyais jamais l'intérêt de cet endroit ni l'engouement qu'il suscite parce que c'est juste une piste d'atterrissage vide sans arbres ni rien, mais hier j'écoutais de la très bonne musique et y avait pas trop de monde et le ciel était entre deux averses à moitié gris-mauve à moitié doré, tout était doré et beau et spectaculaire et y avait une atmosphère très paisible. quand le soleil s'est couché il s'est mis à pleuvoir à grosses gouttes c'était le moment entre le jour et la nuit et je savourais l'eau qui me tombait sur les jambes et trempaient mon short gris en molleton les néons étaient allumés dans les rues et les gens mangeaient et buvaient des coups sur les trottoirs mouillés abrités sous les auvents magie magique j'étais enchantée par tout. j'aime bien être dans cet état, quand tout m'émerveille. j'aime bien quand ça arrive. je sais pas à quoi ça tient.
je continue sur ma lancée des efforts, ce soir j'étais dans un bar lesbien avec une fille d'un groupe telegram qui m'a demandé si je voulais l'accompagner au public viewing de princess charming, je le sentais qu'à moitié mais bon toute occasion est bonne à prendre pour rencontrer des lesbiennes alors j'ai dit ok et j'ai passé la soirée à me dire putain je pourrais être tranquille sur mon canapé en train de travailler sur mon texte avec la fenêtre ouverte. il faisait super chaud à l'intérieur et on était collées à l'écran juste à côté du haut-parleur qui me perçait les tympans parce qu'y avait pas de place et les gens qui passaient devant le bar me rentraient continuellement dans le dos et je pensais encore au squelette qui dit if it sucks, hit da bricks!! mais je voulais pas être impolie, alors j'ai patiemment attendu que l'interminable épisode de téléréalité lesbienne se termine en faisant du eye contact avec une fille très grande sur le trottoir qui ressemblait à un des grands frères de stranger things avec son mullet bouclé et sa chemise à manches courtes ouverte sur un marcel blanc.
à un moment sur l'écran géant elles étaient toutes dans la piscine à chanter danser et s'embrasser les unes les autres et les filles dans le bar dansaient et chantaient avec elles et moi je pensais à mon trauma et à mon corps qui se fige, qui se transforme en zombie engourdi et sans vie à chaque fois qu'il faut s'amuser. je le sous-estime toujours. je me dis que j'arriverai bien à le dépasser, dans les bonnes circonstances, mais peut être pas en fait. je me sentais complètement à la masse. je comprenais un mot sur deux de ce que me disait la fille alors qu'on parlait luxembourgeois, elle a payé ma limo fleur de sureau mais j'avais pas de cash à lui donner et je savais pas quoi dire, j'arrivais pas à suivre les conversations en allemand parce qu'y avait trop de bruit et j'arrivais pas à me concentrer. donc je me suis dit que c'était peut être pas une bonne idée d'aller à la soirée flirt speed dating au k-fetisch demain. je vais me contenter d'attendre de rencontrer mon âme soeur au cimetière, même si ça doit me prendre 84 ans, tant pis. on a parlé du lycée, elle a passé quelques années au rodange aussi et elle avait reding et elle m'a dit qu'il avait agressé des filles du lycée et j'arrivais pas à y croire. j'arrivais pas à croire que mon prof de latin que j'ai eu pendant cinq ans était un agresseur sexuel et j'arrivais pas à croire que je l'apprenais dans un bar lesbien à berlin devant une émission de téléréalité projetée sur un écran géant. à la fin on était sur le trottoir avec des gens chiants alors j'ai dit bon j'y vais et je suis allée m'acheter un paquet de chips et je suis rentrée libre comme l'air me mettre en culotte sur mon canap avec mon paquet de chips bonheur divin et suprême.
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mercedes-lenz · 2 years ago
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Magst du uns Lenz und Wieland book reviews geben? Und vielleicht noch eine (oder mehr ;) Fanfiction?
Wobei mich auch die ganze Goethe Lenz Thematik interessiert. Falls du da noch ein paar Gedanken loswerden willst. Go for it.
Ah ja und PS: du bist der beste deutsch-literatur kurs den ich je gehabt habe <3
was fanfictions angeht bin ich leider die einzige person die über lenz schreibt. es ist ein hartes los. ich hab eine serie für meine lenz oneshots angelegt, bei der ich hoffentlich bald wieder was posten werde <3 bis jetzt gibts da
lenz x goethe in straßburg (das war das erste was ich jemals über lenz geschrieben hab und auch wenn ich paar fakten falsch hatte bin ich immernoch sehr sehr stolz drauf <3)
zu lenz geburtstag hab ich manisch auch was geschrieben (es ist ein bisschen experimenteller ? aber nicht wirklich und beschäftigt sich vor allem mit lenz (natürlich) und mit seinem wahn <3 darauf bin ich auch sehr stolz)
zu lenz todestag bin ich nach berka gewandert was generell ein schönes erlebnis war (ich hab es komplett ohne musik zu hören gemacht und hab mir die zeit genommen zu malen, seine werke zu lesen und zu schreiben) dabei ist das gedicht entstanden. es ist ihm gewidmet und hat eigentlich nur allegorisch mit ihm zu tun
mit den book reviews fang ich bald an, wobei ich da wahrscheinlich erstmal mit den historischen romanen über lenz anfang statt mit ihren werken weil ich dazu einfach so viel loswerden muss
zu den beiden hab ich in letzter zeit ziemlich viel recherche gepostet und so aber ich muss einfach mal loswerden dass sie mich nachts wachhalten. ich bin mir sicher dass lenz verliebt war. ich frag mich ob goethe verliebt war ?
es war im 18. jhdt üblich dass man private briefe die man bekommen hatte vorgelesen oder rumgezeigt oder sogar weiterverschickt hat aber die beiden haben ihre briefe selten gezeigt und es gab einen brief an lenz (den ich natürlich genau jetzt nicht finde) in dem jemand ihm schreibt dass er sich über den brief von lenz an ihn gefreut hat, weil er schon viel von ihm gehört hat aber goethe ihm seine briefe nie zeigen wollte und das das erste mal ist dass er lenz' schrift sieht. waren es liebesbriefe ? ich sterbe
sie haben zusammen gewohnt. hallo. sie haben zusammen gewohnt. in einem haus außerhalb der stadt hallo sie haben da drin gewohnt zu zweit kann mich jemand hören warum redet da niemand drüber. lenz hat ne zeit lang bei goethe im gartenhaus gewohnt. auch als lenz nach berka gezogen ist haben sie sich noch relativ oft besucht. bei goethe steht voll oft im tagebuch dass sie die nächte zusammen verbracht haben es geht mir nicht gut.
oh und auch der fakt dass goethe lenz ausgewiesen hat und danach nichts mehr von ihm hören wollte. das waren kleist-ausmaße an "nennt seinen namen nicht in meiner gegenwart" und trotzdem. trotzdem hat er lenz schriftwerke behalten. ja, er hat viele briefe verbrannt aber die poesie ? hat er behalten. und da waren teilweise sachen dabei mit denen er lenz hätte fertig machen können. aber hat er nicht. nicht mal als schiller ihn nach werken von lenz zum veröffentlichen gefragt hat hat er die rausgerückt. er hat lenz versprochen es nicht zu drucken als sie freunde waren und er hat sich dran gehalten. und er hat die schriften vor allem behalten.
ja das wars erstmal ich muss mich erholen
und es freut mich zu hören dass meine shitposts etwas zur bildung beitragen <3
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cleverhottubmiracle · 1 month ago
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Übersetzt von Felicia Enderes Veröffentlicht am 5. März 2025 Es gibt wohl kaum zwei Modehäuser, die so gegensätzlich sind wie Courrèges und The Row, die an diesem sonnigen Mittwoch zwei ganz unterschiedliche Schauen in Paris boten. Gefolgt von einer ausgefeilten und erfolgreichen Inszenierung von Julian Klausner für Dries Van Noten in der Opera Garnier.Courrèges: Party muss sein Photo Credits: Godfrey DeenyEin weiterer weißer Kasten, ein weiteres bizarres Centerpiece - in diesem Fall aufsteigendes Konfetti - und eine weitere beeindruckende Kollektion von Nicolas Di Felice in einer weiteren Morgenshow für das Haus Courrèges.In dieser Saison ließ sich Nicolas Di Felice von einem Fotobuch von Don Colen mit dem Titel "Moments Like This" inspirieren, in dem rund 100 Bilder von Konfetti abgebildet sind. Einige seiner Bilder zeigen Scherben und längliche Farbflächen und bilden die Grundlage für die Herbst/Winter-Kollektion 2025/26. Eröffnet wurde die Show mit minimalistischen Drapierungen, langen Rechtecken aus Stoff, die sich sanft um Oberkörper und Schultern legten und an vielen Models zu sehen waren."Ich nenne es das one-minute Courrèges", lachte der stets unprätentiöse Di Felice in einem vollbesetzten und feierlichen Backstage-Bereich, während Gäste und Models einen Schluck Champagner tranken. Der Eröffnungslook bestand aus einem drei Meter langen schwarzen Rechteck aus feiner Wolle, das um den Hals geschlungen wurde und als Schal, Bluse und Schleppe diente. Rechtecke wurden gewellt, gedreht und gewickelt, um atemberaubend geformte Oberteile zu kreieren, die zu Bleistifthosen kombiniert wurden. Diesem Gedanken folgend bestanden Cocktailkleider aus langen Parallelogrammen, die um den Hals gewickelt wurden, den Oberkörper umschlangen und dann zu Boden fielen.  Mit dem letzten Look schickte Nicolas sogar eine clevere Hommage an den Gründer André Courrèges über den Laufsteg. Das futuristische, weiß schimmernde Lackkleid des Gründers aus dem Jahr 1968 wurde als gerolltes Wickelkleid mit ausgestelltem Rücken ohne Ärmel, in dem die Arme des Models gefangen waren, neu aufgelegt. Photo Credits: Godfrey DeenyFür kühlere Abende entwarf er einige großartige, schnittige Mantelkleider und Mieder aus dem für die Marke charakteristischen schwarzen Kunststoff-Toile. Aber das Herzstück der Show waren die kühnen neuen Drapierungen, die besten, die wir seit vielen Saisons gesehen haben, und eine Erinnerung daran, wie es Nicolas geschafft hat, Courrèges wieder zu einem so angesagten Label zu machen. Damit ist er der erste Designer, der das von André Courrèges gegründete Haus nach einem halben Dutzend Möchtegern-Nachfolgern nach dem Rücktritt des Gründers im Jahr 2011 erfolgreich wiederbelebt hat. "Ich wollte den Optimismus von André und die Liebe zu Partys in Erinnerung rufen. In schwierigen Zeiten wie heute braucht man das", schloss er. Alles in allem ein tolles Mode-Statement. Auch wenn man das Gefühl hat, dass Di Felice in Sachen Inszenierung eine neue Richtung einschlagen sollte. Bitte keine weißen Kästen mehr. The Row: Poesie und GelassenheitEinen Moment der Poesie und Ruhe bot die Modenschau von The Row, bei der die Hälfte der Gäste auf den hochflorigen Teppichen in der großen Pariser Villa, in der die Show stattfand, Platz nehmen musste. Das Licht schien vom milchig-blauen Himmel auf die Gäste und die Models. Diese schwebten barfuß durch eine Reihe von Räumen, untermalt von der Akustikgitarre und den sanften Klängen von "Abusey Junction" von Kokoroko. Die Stimmung spiegelte sich in der Reinheit der Kleider wider: vor allem in den tollen Trenchcoats - verkürzt mit präzisen Einsätzen oder weit fließend und mit zwei sichtbaren Knöpfen am Hals. Jeder Mantel wirkte edel, aber nie aufdringlich - doppelseitige Kaschmir-Wickelmäntel mit Smoking-Revers, große Lammfellmäntel in Burgunderrot oder weiche Spionagemäntel mit großem Revers aus schwarzem Leder.Sie waren genau die Art von Kleidung, die jede Redakteurin und Käuferin tragen möchte. Unaufdringlich, aber nie langweilig - und Welten entfernt vom lärmenden Instagram. Eine Bedingung für die Teilnahme an der Show ist, dass man seine Handy-Fotos nicht in den sozialen Medien veröffentlichen darf. Dries Van Noten: Ein Tag in einer geschlossenen OperShow ansehenDries Van Noten - Herbst/Winter 2025 - 2026 - Womenswear - Frankreich - Paris - ©Launchmetrics/spotlightDer dritten Kollektion von Julian Klausner für die belgische Marke nach zu urteilen, scheint die Nachfolgeregelung bei Dries Van Noten geglückt zu sein. Die Kollektion, die in der Opera Garnier präsentiert wurde, brachte dem designierten Nachfolger von Dries Van Noten viel Applaus ein. Die Atmosphäre war von selbstbewusstem Chic geprägt, insbesondere dank der maskulinen Schnitte, welche die DNA des Hauses aufgriffen. Gleichzeitig wurden die Codes des Hauses mit Blazern und doppelreihigen Jacken aus Seidenkrawatten mit Polka-Dots oder geometrischen Mustern neu interpretiert. Den Auftakt bildete viel Schwarz, vielleicht nicht unbedingt eine Dries-Farbe, aber dennoch eine gelungene Serie, insbesondere die Mäntel mit Schößchen und die Bleistifthosen, die mit Seidenschal-Wickeloberteilen kombiniert wurden. Mit Obis oder Kummerbunden aus Schlangenhaut und afrikanisch anmutenden Paspeln spielte er auch auf Dries' ethnografische Wurzeln an. Mit einem tollen Mantel aus Shearling mit Appaloosa-Print griff er den größten Trend der Saison auf: exotische Kunstpelze.Show ansehenDries Van Noten - Herbst/Winter 2025 - 2026 - Womenswear - Frankreich - Paris - ©Launchmetrics/spotlightAlles in allem war dies ein deutlicher Schritt nach vorne im Vergleich zu seinem Debüt, bei dem Julian mit der Wahl der Prints und der Silhouette haderte. "Ich mochte die Idee, dass die Schauspieler die Oper an einem Tag besuchen, an dem sie geschlossen ist. Oder nach einer Vorstellung und sich fragen, was wohl passieren wird", schmunzelte Klausner im Backstage-Bereich. Dieser befand sich seltsamerweise im schönsten Raum des Palais Garnier, während der Laufsteg in einem abgedunkelten Seitengang mit verdunkelten Fenstern untergebracht war. Auf die Frage, was die DNA von Dries ausmacht, antwortete Julian: "Was ich wollte, war frei zu sein. Aber für mich ist der Schlüssel zu Dries die Garderobe, dass die Leute die Kleider tragen, und das hoffentlich mehrmals, und dass sie ihnen Freude bereiten." Angesichts der Puig-Cousins, denen Dries und vier weitere Modehäuser gehören, die strahlend daneben standen, könnte man vermuten, dass dies noch lange der Fall sein wird. Auch wenn man den Verdacht hat, dass es den katalanischen Cousins noch wichtiger ist, dass ihr geliebter FC Barcelona dieses Jahr die Champions League gewinnt. Was wohl weniger wahrscheinlich sein dürfte.   Copyright © 2025 FashionNetwork.com Alle Rechte vorbehalten. Source link
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norajworld · 1 month ago
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Übersetzt von Felicia Enderes Veröffentlicht am 5. März 2025 Es gibt wohl kaum zwei Modehäuser, die so gegensätzlich sind wie Courrèges und The Row, die an diesem sonnigen Mittwoch zwei ganz unterschiedliche Schauen in Paris boten. Gefolgt von einer ausgefeilten und erfolgreichen Inszenierung von Julian Klausner für Dries Van Noten in der Opera Garnier.Courrèges: Party muss sein Photo Credits: Godfrey DeenyEin weiterer weißer Kasten, ein weiteres bizarres Centerpiece - in diesem Fall aufsteigendes Konfetti - und eine weitere beeindruckende Kollektion von Nicolas Di Felice in einer weiteren Morgenshow für das Haus Courrèges.In dieser Saison ließ sich Nicolas Di Felice von einem Fotobuch von Don Colen mit dem Titel "Moments Like This" inspirieren, in dem rund 100 Bilder von Konfetti abgebildet sind. Einige seiner Bilder zeigen Scherben und längliche Farbflächen und bilden die Grundlage für die Herbst/Winter-Kollektion 2025/26. Eröffnet wurde die Show mit minimalistischen Drapierungen, langen Rechtecken aus Stoff, die sich sanft um Oberkörper und Schultern legten und an vielen Models zu sehen waren."Ich nenne es das one-minute Courrèges", lachte der stets unprätentiöse Di Felice in einem vollbesetzten und feierlichen Backstage-Bereich, während Gäste und Models einen Schluck Champagner tranken. Der Eröffnungslook bestand aus einem drei Meter langen schwarzen Rechteck aus feiner Wolle, das um den Hals geschlungen wurde und als Schal, Bluse und Schleppe diente. Rechtecke wurden gewellt, gedreht und gewickelt, um atemberaubend geformte Oberteile zu kreieren, die zu Bleistifthosen kombiniert wurden. Diesem Gedanken folgend bestanden Cocktailkleider aus langen Parallelogrammen, die um den Hals gewickelt wurden, den Oberkörper umschlangen und dann zu Boden fielen.  Mit dem letzten Look schickte Nicolas sogar eine clevere Hommage an den Gründer André Courrèges über den Laufsteg. Das futuristische, weiß schimmernde Lackkleid des Gründers aus dem Jahr 1968 wurde als gerolltes Wickelkleid mit ausgestelltem Rücken ohne Ärmel, in dem die Arme des Models gefangen waren, neu aufgelegt. Photo Credits: Godfrey DeenyFür kühlere Abende entwarf er einige großartige, schnittige Mantelkleider und Mieder aus dem für die Marke charakteristischen schwarzen Kunststoff-Toile. Aber das Herzstück der Show waren die kühnen neuen Drapierungen, die besten, die wir seit vielen Saisons gesehen haben, und eine Erinnerung daran, wie es Nicolas geschafft hat, Courrèges wieder zu einem so angesagten Label zu machen. Damit ist er der erste Designer, der das von André Courrèges gegründete Haus nach einem halben Dutzend Möchtegern-Nachfolgern nach dem Rücktritt des Gründers im Jahr 2011 erfolgreich wiederbelebt hat. "Ich wollte den Optimismus von André und die Liebe zu Partys in Erinnerung rufen. In schwierigen Zeiten wie heute braucht man das", schloss er. Alles in allem ein tolles Mode-Statement. Auch wenn man das Gefühl hat, dass Di Felice in Sachen Inszenierung eine neue Richtung einschlagen sollte. Bitte keine weißen Kästen mehr. The Row: Poesie und GelassenheitEinen Moment der Poesie und Ruhe bot die Modenschau von The Row, bei der die Hälfte der Gäste auf den hochflorigen Teppichen in der großen Pariser Villa, in der die Show stattfand, Platz nehmen musste. Das Licht schien vom milchig-blauen Himmel auf die Gäste und die Models. Diese schwebten barfuß durch eine Reihe von Räumen, untermalt von der Akustikgitarre und den sanften Klängen von "Abusey Junction" von Kokoroko. Die Stimmung spiegelte sich in der Reinheit der Kleider wider: vor allem in den tollen Trenchcoats - verkürzt mit präzisen Einsätzen oder weit fließend und mit zwei sichtbaren Knöpfen am Hals. Jeder Mantel wirkte edel, aber nie aufdringlich - doppelseitige Kaschmir-Wickelmäntel mit Smoking-Revers, große Lammfellmäntel in Burgunderrot oder weiche Spionagemäntel mit großem Revers aus schwarzem Leder.Sie waren genau die Art von Kleidung, die jede Redakteurin und Käuferin tragen möchte. Unaufdringlich, aber nie langweilig - und Welten entfernt vom lärmenden Instagram. Eine Bedingung für die Teilnahme an der Show ist, dass man seine Handy-Fotos nicht in den sozialen Medien veröffentlichen darf. Dries Van Noten: Ein Tag in einer geschlossenen OperShow ansehenDries Van Noten - Herbst/Winter 2025 - 2026 - Womenswear - Frankreich - Paris - ©Launchmetrics/spotlightDer dritten Kollektion von Julian Klausner für die belgische Marke nach zu urteilen, scheint die Nachfolgeregelung bei Dries Van Noten geglückt zu sein. Die Kollektion, die in der Opera Garnier präsentiert wurde, brachte dem designierten Nachfolger von Dries Van Noten viel Applaus ein. Die Atmosphäre war von selbstbewusstem Chic geprägt, insbesondere dank der maskulinen Schnitte, welche die DNA des Hauses aufgriffen. Gleichzeitig wurden die Codes des Hauses mit Blazern und doppelreihigen Jacken aus Seidenkrawatten mit Polka-Dots oder geometrischen Mustern neu interpretiert. Den Auftakt bildete viel Schwarz, vielleicht nicht unbedingt eine Dries-Farbe, aber dennoch eine gelungene Serie, insbesondere die Mäntel mit Schößchen und die Bleistifthosen, die mit Seidenschal-Wickeloberteilen kombiniert wurden. Mit Obis oder Kummerbunden aus Schlangenhaut und afrikanisch anmutenden Paspeln spielte er auch auf Dries' ethnografische Wurzeln an. Mit einem tollen Mantel aus Shearling mit Appaloosa-Print griff er den größten Trend der Saison auf: exotische Kunstpelze.Show ansehenDries Van Noten - Herbst/Winter 2025 - 2026 - Womenswear - Frankreich - Paris - ©Launchmetrics/spotlightAlles in allem war dies ein deutlicher Schritt nach vorne im Vergleich zu seinem Debüt, bei dem Julian mit der Wahl der Prints und der Silhouette haderte. "Ich mochte die Idee, dass die Schauspieler die Oper an einem Tag besuchen, an dem sie geschlossen ist. Oder nach einer Vorstellung und sich fragen, was wohl passieren wird", schmunzelte Klausner im Backstage-Bereich. Dieser befand sich seltsamerweise im schönsten Raum des Palais Garnier, während der Laufsteg in einem abgedunkelten Seitengang mit verdunkelten Fenstern untergebracht war. Auf die Frage, was die DNA von Dries ausmacht, antwortete Julian: "Was ich wollte, war frei zu sein. Aber für mich ist der Schlüssel zu Dries die Garderobe, dass die Leute die Kleider tragen, und das hoffentlich mehrmals, und dass sie ihnen Freude bereiten." Angesichts der Puig-Cousins, denen Dries und vier weitere Modehäuser gehören, die strahlend daneben standen, könnte man vermuten, dass dies noch lange der Fall sein wird. Auch wenn man den Verdacht hat, dass es den katalanischen Cousins noch wichtiger ist, dass ihr geliebter FC Barcelona dieses Jahr die Champions League gewinnt. Was wohl weniger wahrscheinlich sein dürfte.   Copyright © 2025 FashionNetwork.com Alle Rechte vorbehalten. Source link
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ellajme0 · 1 month ago
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Übersetzt von Felicia Enderes Veröffentlicht am 5. März 2025 Es gibt wohl kaum zwei Modehäuser, die so gegensätzlich sind wie Courrèges und The Row, die an diesem sonnigen Mittwoch zwei ganz unterschiedliche Schauen in Paris boten. Gefolgt von einer ausgefeilten und erfolgreichen Inszenierung von Julian Klausner für Dries Van Noten in der Opera Garnier.Courrèges: Party muss sein Photo Credits: Godfrey DeenyEin weiterer weißer Kasten, ein weiteres bizarres Centerpiece - in diesem Fall aufsteigendes Konfetti - und eine weitere beeindruckende Kollektion von Nicolas Di Felice in einer weiteren Morgenshow für das Haus Courrèges.In dieser Saison ließ sich Nicolas Di Felice von einem Fotobuch von Don Colen mit dem Titel "Moments Like This" inspirieren, in dem rund 100 Bilder von Konfetti abgebildet sind. Einige seiner Bilder zeigen Scherben und längliche Farbflächen und bilden die Grundlage für die Herbst/Winter-Kollektion 2025/26. Eröffnet wurde die Show mit minimalistischen Drapierungen, langen Rechtecken aus Stoff, die sich sanft um Oberkörper und Schultern legten und an vielen Models zu sehen waren."Ich nenne es das one-minute Courrèges", lachte der stets unprätentiöse Di Felice in einem vollbesetzten und feierlichen Backstage-Bereich, während Gäste und Models einen Schluck Champagner tranken. Der Eröffnungslook bestand aus einem drei Meter langen schwarzen Rechteck aus feiner Wolle, das um den Hals geschlungen wurde und als Schal, Bluse und Schleppe diente. Rechtecke wurden gewellt, gedreht und gewickelt, um atemberaubend geformte Oberteile zu kreieren, die zu Bleistifthosen kombiniert wurden. Diesem Gedanken folgend bestanden Cocktailkleider aus langen Parallelogrammen, die um den Hals gewickelt wurden, den Oberkörper umschlangen und dann zu Boden fielen.  Mit dem letzten Look schickte Nicolas sogar eine clevere Hommage an den Gründer André Courrèges über den Laufsteg. Das futuristische, weiß schimmernde Lackkleid des Gründers aus dem Jahr 1968 wurde als gerolltes Wickelkleid mit ausgestelltem Rücken ohne Ärmel, in dem die Arme des Models gefangen waren, neu aufgelegt. Photo Credits: Godfrey DeenyFür kühlere Abende entwarf er einige großartige, schnittige Mantelkleider und Mieder aus dem für die Marke charakteristischen schwarzen Kunststoff-Toile. Aber das Herzstück der Show waren die kühnen neuen Drapierungen, die besten, die wir seit vielen Saisons gesehen haben, und eine Erinnerung daran, wie es Nicolas geschafft hat, Courrèges wieder zu einem so angesagten Label zu machen. Damit ist er der erste Designer, der das von André Courrèges gegründete Haus nach einem halben Dutzend Möchtegern-Nachfolgern nach dem Rücktritt des Gründers im Jahr 2011 erfolgreich wiederbelebt hat. "Ich wollte den Optimismus von André und die Liebe zu Partys in Erinnerung rufen. In schwierigen Zeiten wie heute braucht man das", schloss er. Alles in allem ein tolles Mode-Statement. Auch wenn man das Gefühl hat, dass Di Felice in Sachen Inszenierung eine neue Richtung einschlagen sollte. Bitte keine weißen Kästen mehr. The Row: Poesie und GelassenheitEinen Moment der Poesie und Ruhe bot die Modenschau von The Row, bei der die Hälfte der Gäste auf den hochflorigen Teppichen in der großen Pariser Villa, in der die Show stattfand, Platz nehmen musste. Das Licht schien vom milchig-blauen Himmel auf die Gäste und die Models. Diese schwebten barfuß durch eine Reihe von Räumen, untermalt von der Akustikgitarre und den sanften Klängen von "Abusey Junction" von Kokoroko. Die Stimmung spiegelte sich in der Reinheit der Kleider wider: vor allem in den tollen Trenchcoats - verkürzt mit präzisen Einsätzen oder weit fließend und mit zwei sichtbaren Knöpfen am Hals. Jeder Mantel wirkte edel, aber nie aufdringlich - doppelseitige Kaschmir-Wickelmäntel mit Smoking-Revers, große Lammfellmäntel in Burgunderrot oder weiche Spionagemäntel mit großem Revers aus schwarzem Leder.Sie waren genau die Art von Kleidung, die jede Redakteurin und Käuferin tragen möchte. Unaufdringlich, aber nie langweilig - und Welten entfernt vom lärmenden Instagram. Eine Bedingung für die Teilnahme an der Show ist, dass man seine Handy-Fotos nicht in den sozialen Medien veröffentlichen darf. Dries Van Noten: Ein Tag in einer geschlossenen OperShow ansehenDries Van Noten - Herbst/Winter 2025 - 2026 - Womenswear - Frankreich - Paris - ©Launchmetrics/spotlightDer dritten Kollektion von Julian Klausner für die belgische Marke nach zu urteilen, scheint die Nachfolgeregelung bei Dries Van Noten geglückt zu sein. Die Kollektion, die in der Opera Garnier präsentiert wurde, brachte dem designierten Nachfolger von Dries Van Noten viel Applaus ein. Die Atmosphäre war von selbstbewusstem Chic geprägt, insbesondere dank der maskulinen Schnitte, welche die DNA des Hauses aufgriffen. Gleichzeitig wurden die Codes des Hauses mit Blazern und doppelreihigen Jacken aus Seidenkrawatten mit Polka-Dots oder geometrischen Mustern neu interpretiert. Den Auftakt bildete viel Schwarz, vielleicht nicht unbedingt eine Dries-Farbe, aber dennoch eine gelungene Serie, insbesondere die Mäntel mit Schößchen und die Bleistifthosen, die mit Seidenschal-Wickeloberteilen kombiniert wurden. Mit Obis oder Kummerbunden aus Schlangenhaut und afrikanisch anmutenden Paspeln spielte er auch auf Dries' ethnografische Wurzeln an. Mit einem tollen Mantel aus Shearling mit Appaloosa-Print griff er den größten Trend der Saison auf: exotische Kunstpelze.Show ansehenDries Van Noten - Herbst/Winter 2025 - 2026 - Womenswear - Frankreich - Paris - ©Launchmetrics/spotlightAlles in allem war dies ein deutlicher Schritt nach vorne im Vergleich zu seinem Debüt, bei dem Julian mit der Wahl der Prints und der Silhouette haderte. "Ich mochte die Idee, dass die Schauspieler die Oper an einem Tag besuchen, an dem sie geschlossen ist. Oder nach einer Vorstellung und sich fragen, was wohl passieren wird", schmunzelte Klausner im Backstage-Bereich. Dieser befand sich seltsamerweise im schönsten Raum des Palais Garnier, während der Laufsteg in einem abgedunkelten Seitengang mit verdunkelten Fenstern untergebracht war. Auf die Frage, was die DNA von Dries ausmacht, antwortete Julian: "Was ich wollte, war frei zu sein. Aber für mich ist der Schlüssel zu Dries die Garderobe, dass die Leute die Kleider tragen, und das hoffentlich mehrmals, und dass sie ihnen Freude bereiten." Angesichts der Puig-Cousins, denen Dries und vier weitere Modehäuser gehören, die strahlend daneben standen, könnte man vermuten, dass dies noch lange der Fall sein wird. Auch wenn man den Verdacht hat, dass es den katalanischen Cousins noch wichtiger ist, dass ihr geliebter FC Barcelona dieses Jahr die Champions League gewinnt. Was wohl weniger wahrscheinlich sein dürfte.   Copyright © 2025 FashionNetwork.com Alle Rechte vorbehalten. Source link
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chilimili212 · 1 month ago
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Übersetzt von Felicia Enderes Veröffentlicht am 5. März 2025 Es gibt wohl kaum zwei Modehäuser, die so gegensätzlich sind wie Courrèges und The Row, die an diesem sonnigen Mittwoch zwei ganz unterschiedliche Schauen in Paris boten. Gefolgt von einer ausgefeilten und erfolgreichen Inszenierung von Julian Klausner für Dries Van Noten in der Opera Garnier.Courrèges: Party muss sein Photo Credits: Godfrey DeenyEin weiterer weißer Kasten, ein weiteres bizarres Centerpiece - in diesem Fall aufsteigendes Konfetti - und eine weitere beeindruckende Kollektion von Nicolas Di Felice in einer weiteren Morgenshow für das Haus Courrèges.In dieser Saison ließ sich Nicolas Di Felice von einem Fotobuch von Don Colen mit dem Titel "Moments Like This" inspirieren, in dem rund 100 Bilder von Konfetti abgebildet sind. Einige seiner Bilder zeigen Scherben und längliche Farbflächen und bilden die Grundlage für die Herbst/Winter-Kollektion 2025/26. Eröffnet wurde die Show mit minimalistischen Drapierungen, langen Rechtecken aus Stoff, die sich sanft um Oberkörper und Schultern legten und an vielen Models zu sehen waren."Ich nenne es das one-minute Courrèges", lachte der stets unprätentiöse Di Felice in einem vollbesetzten und feierlichen Backstage-Bereich, während Gäste und Models einen Schluck Champagner tranken. Der Eröffnungslook bestand aus einem drei Meter langen schwarzen Rechteck aus feiner Wolle, das um den Hals geschlungen wurde und als Schal, Bluse und Schleppe diente. Rechtecke wurden gewellt, gedreht und gewickelt, um atemberaubend geformte Oberteile zu kreieren, die zu Bleistifthosen kombiniert wurden. Diesem Gedanken folgend bestanden Cocktailkleider aus langen Parallelogrammen, die um den Hals gewickelt wurden, den Oberkörper umschlangen und dann zu Boden fielen.  Mit dem letzten Look schickte Nicolas sogar eine clevere Hommage an den Gründer André Courrèges über den Laufsteg. Das futuristische, weiß schimmernde Lackkleid des Gründers aus dem Jahr 1968 wurde als gerolltes Wickelkleid mit ausgestelltem Rücken ohne Ärmel, in dem die Arme des Models gefangen waren, neu aufgelegt. Photo Credits: Godfrey DeenyFür kühlere Abende entwarf er einige großartige, schnittige Mantelkleider und Mieder aus dem für die Marke charakteristischen schwarzen Kunststoff-Toile. Aber das Herzstück der Show waren die kühnen neuen Drapierungen, die besten, die wir seit vielen Saisons gesehen haben, und eine Erinnerung daran, wie es Nicolas geschafft hat, Courrèges wieder zu einem so angesagten Label zu machen. Damit ist er der erste Designer, der das von André Courrèges gegründete Haus nach einem halben Dutzend Möchtegern-Nachfolgern nach dem Rücktritt des Gründers im Jahr 2011 erfolgreich wiederbelebt hat. "Ich wollte den Optimismus von André und die Liebe zu Partys in Erinnerung rufen. In schwierigen Zeiten wie heute braucht man das", schloss er. Alles in allem ein tolles Mode-Statement. Auch wenn man das Gefühl hat, dass Di Felice in Sachen Inszenierung eine neue Richtung einschlagen sollte. Bitte keine weißen Kästen mehr. The Row: Poesie und GelassenheitEinen Moment der Poesie und Ruhe bot die Modenschau von The Row, bei der die Hälfte der Gäste auf den hochflorigen Teppichen in der großen Pariser Villa, in der die Show stattfand, Platz nehmen musste. Das Licht schien vom milchig-blauen Himmel auf die Gäste und die Models. Diese schwebten barfuß durch eine Reihe von Räumen, untermalt von der Akustikgitarre und den sanften Klängen von "Abusey Junction" von Kokoroko. Die Stimmung spiegelte sich in der Reinheit der Kleider wider: vor allem in den tollen Trenchcoats - verkürzt mit präzisen Einsätzen oder weit fließend und mit zwei sichtbaren Knöpfen am Hals. Jeder Mantel wirkte edel, aber nie aufdringlich - doppelseitige Kaschmir-Wickelmäntel mit Smoking-Revers, große Lammfellmäntel in Burgunderrot oder weiche Spionagemäntel mit großem Revers aus schwarzem Leder.Sie waren genau die Art von Kleidung, die jede Redakteurin und Käuferin tragen möchte. Unaufdringlich, aber nie langweilig - und Welten entfernt vom lärmenden Instagram. Eine Bedingung für die Teilnahme an der Show ist, dass man seine Handy-Fotos nicht in den sozialen Medien veröffentlichen darf. Dries Van Noten: Ein Tag in einer geschlossenen OperShow ansehenDries Van Noten - Herbst/Winter 2025 - 2026 - Womenswear - Frankreich - Paris - ©Launchmetrics/spotlightDer dritten Kollektion von Julian Klausner für die belgische Marke nach zu urteilen, scheint die Nachfolgeregelung bei Dries Van Noten geglückt zu sein. Die Kollektion, die in der Opera Garnier präsentiert wurde, brachte dem designierten Nachfolger von Dries Van Noten viel Applaus ein. Die Atmosphäre war von selbstbewusstem Chic geprägt, insbesondere dank der maskulinen Schnitte, welche die DNA des Hauses aufgriffen. Gleichzeitig wurden die Codes des Hauses mit Blazern und doppelreihigen Jacken aus Seidenkrawatten mit Polka-Dots oder geometrischen Mustern neu interpretiert. Den Auftakt bildete viel Schwarz, vielleicht nicht unbedingt eine Dries-Farbe, aber dennoch eine gelungene Serie, insbesondere die Mäntel mit Schößchen und die Bleistifthosen, die mit Seidenschal-Wickeloberteilen kombiniert wurden. Mit Obis oder Kummerbunden aus Schlangenhaut und afrikanisch anmutenden Paspeln spielte er auch auf Dries' ethnografische Wurzeln an. Mit einem tollen Mantel aus Shearling mit Appaloosa-Print griff er den größten Trend der Saison auf: exotische Kunstpelze.Show ansehenDries Van Noten - Herbst/Winter 2025 - 2026 - Womenswear - Frankreich - Paris - ©Launchmetrics/spotlightAlles in allem war dies ein deutlicher Schritt nach vorne im Vergleich zu seinem Debüt, bei dem Julian mit der Wahl der Prints und der Silhouette haderte. "Ich mochte die Idee, dass die Schauspieler die Oper an einem Tag besuchen, an dem sie geschlossen ist. Oder nach einer Vorstellung und sich fragen, was wohl passieren wird", schmunzelte Klausner im Backstage-Bereich. Dieser befand sich seltsamerweise im schönsten Raum des Palais Garnier, während der Laufsteg in einem abgedunkelten Seitengang mit verdunkelten Fenstern untergebracht war. Auf die Frage, was die DNA von Dries ausmacht, antwortete Julian: "Was ich wollte, war frei zu sein. Aber für mich ist der Schlüssel zu Dries die Garderobe, dass die Leute die Kleider tragen, und das hoffentlich mehrmals, und dass sie ihnen Freude bereiten." Angesichts der Puig-Cousins, denen Dries und vier weitere Modehäuser gehören, die strahlend daneben standen, könnte man vermuten, dass dies noch lange der Fall sein wird. Auch wenn man den Verdacht hat, dass es den katalanischen Cousins noch wichtiger ist, dass ihr geliebter FC Barcelona dieses Jahr die Champions League gewinnt. Was wohl weniger wahrscheinlich sein dürfte.   Copyright © 2025 FashionNetwork.com Alle Rechte vorbehalten. Source link
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oliviajoyice21 · 1 month ago
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Übersetzt von Felicia Enderes Veröffentlicht am 5. März 2025 Es gibt wohl kaum zwei Modehäuser, die so gegensätzlich sind wie Courrèges und The Row, die an diesem sonnigen Mittwoch zwei ganz unterschiedliche Schauen in Paris boten. Gefolgt von einer ausgefeilten und erfolgreichen Inszenierung von Julian Klausner für Dries Van Noten in der Opera Garnier.Courrèges: Party muss sein Photo Credits: Godfrey DeenyEin weiterer weißer Kasten, ein weiteres bizarres Centerpiece - in diesem Fall aufsteigendes Konfetti - und eine weitere beeindruckende Kollektion von Nicolas Di Felice in einer weiteren Morgenshow für das Haus Courrèges.In dieser Saison ließ sich Nicolas Di Felice von einem Fotobuch von Don Colen mit dem Titel "Moments Like This" inspirieren, in dem rund 100 Bilder von Konfetti abgebildet sind. Einige seiner Bilder zeigen Scherben und längliche Farbflächen und bilden die Grundlage für die Herbst/Winter-Kollektion 2025/26. Eröffnet wurde die Show mit minimalistischen Drapierungen, langen Rechtecken aus Stoff, die sich sanft um Oberkörper und Schultern legten und an vielen Models zu sehen waren."Ich nenne es das one-minute Courrèges", lachte der stets unprätentiöse Di Felice in einem vollbesetzten und feierlichen Backstage-Bereich, während Gäste und Models einen Schluck Champagner tranken. Der Eröffnungslook bestand aus einem drei Meter langen schwarzen Rechteck aus feiner Wolle, das um den Hals geschlungen wurde und als Schal, Bluse und Schleppe diente. Rechtecke wurden gewellt, gedreht und gewickelt, um atemberaubend geformte Oberteile zu kreieren, die zu Bleistifthosen kombiniert wurden. Diesem Gedanken folgend bestanden Cocktailkleider aus langen Parallelogrammen, die um den Hals gewickelt wurden, den Oberkörper umschlangen und dann zu Boden fielen.  Mit dem letzten Look schickte Nicolas sogar eine clevere Hommage an den Gründer André Courrèges über den Laufsteg. Das futuristische, weiß schimmernde Lackkleid des Gründers aus dem Jahr 1968 wurde als gerolltes Wickelkleid mit ausgestelltem Rücken ohne Ärmel, in dem die Arme des Models gefangen waren, neu aufgelegt. Photo Credits: Godfrey DeenyFür kühlere Abende entwarf er einige großartige, schnittige Mantelkleider und Mieder aus dem für die Marke charakteristischen schwarzen Kunststoff-Toile. Aber das Herzstück der Show waren die kühnen neuen Drapierungen, die besten, die wir seit vielen Saisons gesehen haben, und eine Erinnerung daran, wie es Nicolas geschafft hat, Courrèges wieder zu einem so angesagten Label zu machen. Damit ist er der erste Designer, der das von André Courrèges gegründete Haus nach einem halben Dutzend Möchtegern-Nachfolgern nach dem Rücktritt des Gründers im Jahr 2011 erfolgreich wiederbelebt hat. "Ich wollte den Optimismus von André und die Liebe zu Partys in Erinnerung rufen. In schwierigen Zeiten wie heute braucht man das", schloss er. Alles in allem ein tolles Mode-Statement. Auch wenn man das Gefühl hat, dass Di Felice in Sachen Inszenierung eine neue Richtung einschlagen sollte. Bitte keine weißen Kästen mehr. The Row: Poesie und GelassenheitEinen Moment der Poesie und Ruhe bot die Modenschau von The Row, bei der die Hälfte der Gäste auf den hochflorigen Teppichen in der großen Pariser Villa, in der die Show stattfand, Platz nehmen musste. Das Licht schien vom milchig-blauen Himmel auf die Gäste und die Models. Diese schwebten barfuß durch eine Reihe von Räumen, untermalt von der Akustikgitarre und den sanften Klängen von "Abusey Junction" von Kokoroko. Die Stimmung spiegelte sich in der Reinheit der Kleider wider: vor allem in den tollen Trenchcoats - verkürzt mit präzisen Einsätzen oder weit fließend und mit zwei sichtbaren Knöpfen am Hals. Jeder Mantel wirkte edel, aber nie aufdringlich - doppelseitige Kaschmir-Wickelmäntel mit Smoking-Revers, große Lammfellmäntel in Burgunderrot oder weiche Spionagemäntel mit großem Revers aus schwarzem Leder.Sie waren genau die Art von Kleidung, die jede Redakteurin und Käuferin tragen möchte. Unaufdringlich, aber nie langweilig - und Welten entfernt vom lärmenden Instagram. Eine Bedingung für die Teilnahme an der Show ist, dass man seine Handy-Fotos nicht in den sozialen Medien veröffentlichen darf. Dries Van Noten: Ein Tag in einer geschlossenen OperShow ansehenDries Van Noten - Herbst/Winter 2025 - 2026 - Womenswear - Frankreich - Paris - ©Launchmetrics/spotlightDer dritten Kollektion von Julian Klausner für die belgische Marke nach zu urteilen, scheint die Nachfolgeregelung bei Dries Van Noten geglückt zu sein. Die Kollektion, die in der Opera Garnier präsentiert wurde, brachte dem designierten Nachfolger von Dries Van Noten viel Applaus ein. Die Atmosphäre war von selbstbewusstem Chic geprägt, insbesondere dank der maskulinen Schnitte, welche die DNA des Hauses aufgriffen. Gleichzeitig wurden die Codes des Hauses mit Blazern und doppelreihigen Jacken aus Seidenkrawatten mit Polka-Dots oder geometrischen Mustern neu interpretiert. Den Auftakt bildete viel Schwarz, vielleicht nicht unbedingt eine Dries-Farbe, aber dennoch eine gelungene Serie, insbesondere die Mäntel mit Schößchen und die Bleistifthosen, die mit Seidenschal-Wickeloberteilen kombiniert wurden. Mit Obis oder Kummerbunden aus Schlangenhaut und afrikanisch anmutenden Paspeln spielte er auch auf Dries' ethnografische Wurzeln an. Mit einem tollen Mantel aus Shearling mit Appaloosa-Print griff er den größten Trend der Saison auf: exotische Kunstpelze.Show ansehenDries Van Noten - Herbst/Winter 2025 - 2026 - Womenswear - Frankreich - Paris - ©Launchmetrics/spotlightAlles in allem war dies ein deutlicher Schritt nach vorne im Vergleich zu seinem Debüt, bei dem Julian mit der Wahl der Prints und der Silhouette haderte. "Ich mochte die Idee, dass die Schauspieler die Oper an einem Tag besuchen, an dem sie geschlossen ist. Oder nach einer Vorstellung und sich fragen, was wohl passieren wird", schmunzelte Klausner im Backstage-Bereich. Dieser befand sich seltsamerweise im schönsten Raum des Palais Garnier, während der Laufsteg in einem abgedunkelten Seitengang mit verdunkelten Fenstern untergebracht war. Auf die Frage, was die DNA von Dries ausmacht, antwortete Julian: "Was ich wollte, war frei zu sein. Aber für mich ist der Schlüssel zu Dries die Garderobe, dass die Leute die Kleider tragen, und das hoffentlich mehrmals, und dass sie ihnen Freude bereiten." Angesichts der Puig-Cousins, denen Dries und vier weitere Modehäuser gehören, die strahlend daneben standen, könnte man vermuten, dass dies noch lange der Fall sein wird. Auch wenn man den Verdacht hat, dass es den katalanischen Cousins noch wichtiger ist, dass ihr geliebter FC Barcelona dieses Jahr die Champions League gewinnt. Was wohl weniger wahrscheinlich sein dürfte.   Copyright © 2025 FashionNetwork.com Alle Rechte vorbehalten. Source link
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albertcoers · 1 month ago
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Die Unterlagen befinden sich im Zustand der Ablage, Poesie und Verwaltung aus dem Archiv des Künstlerverbund im Haus der Kunst e.V., Zentralinstitut für Kunstgeschichte, München
20.3.2025 – 4.7.2025Zentralinstitut für Kunstgeschichte Continue reading Die Unterlagen befinden sich im Zustand der Ablage, Poesie und Verwaltung aus dem Archiv des Künstlerverbund im Haus der Kunst e.V., Zentralinstitut für Kunstgeschichte, München
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blog-aventin-de · 8 months ago
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Schloss Nymphenburg · München
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Schloss Nymphenburg · München · Baudenkmal Kunst Garten
Schloss Nymphenburg in München hat eine reiche und faszinierende Geschichte, die bis ins 17. Jahrhundert zurückreicht. Das Schloss wurde ursprünglich als Geschenk des bayerischen Kurfürsten Ferdinand Maria an seine Frau Henriette Adelaide von Savoyen anlässlich der Geburt ihres Sohnes Max Emanuel im Jahr 1662 gegründet. Der Bau begann 1664 nach Plänen des italienischen Architekten Agostino Barelli. Im Laufe der Jahrhunderte wurde das Schloss von verschiedenen Architekten erweitert und umgestaltet, darunter Enrico Zuccalli und Joseph Effner, die es im Stil des Barock und Rokoko von einem kleinen Landhaus zu einer monumentalen Dreiflügelanlage ausbauten. Während der Regierungszeit von Kurfürst Max Emanuel erhielt das Schloss seine heutigen Dimensionen, wobei ab 1701 zwei gestaffelte Pavillons hinzugefügt wurden. Schloss Nymphenburg diente von 1715 bis 1918 als Sommersitz der bayerischen Kurfürsten und Könige aus dem Haus Wittelsbach. Heute ist es eines der größten Schlösser Deutschlands und ein bedeutendes europäisches Baudenkmal. Der Schlosspark ist bekannt für seine griechische Mythologie und die Schönheitengalerie, die ursprünglich in der Münchner Residenz untergebracht war und nach 1945 in den südlichen Flügel des Schlosses verlegt wurde. Kurfürstin Henriette Adelaide von Savoyen spielte eine entscheidende Rolle bei der Planung von Schloss Nymphenburg. Sie war maßgeblich daran beteiligt, das Schloss als repräsentativen Rückzugsort zu konzipieren. Ursprünglich war das Schloss als ein Lusthaus geplant, inspiriert von italienischen Vorbildern, was sich in der Architektur widerspiegelt. Das Schloss begann als ein mächtiger kubischer Pavillon, umgeben von einem geometrisch angelegten Garten, der von der Kurfürstin konzipiert wurde. Henriette Adelaide brachte ihre kulturellen Einflüsse aus Italien nach Bayern, was sich in der Architektur und Gestaltung des Schlosses und seiner Gärten bemerkbar machte. Sie war bekannt für ihre Liebe zur Kunst, Musik und Poesie und wollte diese kulturellen Elemente in die Gestaltung des Schlosses einfließen lassen. Der Schlosspark Nymphenburg hat sich im Laufe der Zeit ebenfalls erheblich verändert und entwickelt. Ursprünglich wurde der Garten im italienischen Stil angelegt, als das Schloss gebaut wurde. Zwischen 1701 und 1704 wurde der Garten im Stil des französischen Barocks erweitert, inspiriert von den berühmten Gärten von Schloss Versailles und Schloss Vaux-le-Vicomte. Ab 1799 begann Friedrich Ludwig Sckell mit einer grundlegenden Umgestaltung des Parks, um ihn in einen weitläufigen Landschaftspark nach englischem Vorbild zu verwandeln. Diese Umgestaltung begann mit dem südlichen Parkteil, der 1807 fertiggestellt wurde, und wurde zwischen 1810 und 1823 mit dem nördlichen Teil vollendet. Der Park ist heute ein Meisterwerk der Gartenkunst, das formale Gartenstrukturen mit einem Landschaftspark kombiniert. Der Schlosspark umfasst 180 Hektar innerhalb der Gartenmauer, während die gesamte Anlage 229 Hektar groß ist. Der Park ist mit Kanälen durchzogen, die an niederländische Vorbilder angelehnt sind, und war ursprünglich mit sechzehn Klappbrücken ausgestattet, von denen heute nur noch moderne Brücken existieren. Ursprünglich waren Schloss Oberschleißheim, die Residenz München und Schloss Nymphenburg durch ein Kanalsystem verbunden, auf dem man von einem Herrschersitz zum anderen gelangen konnte. Später wurden dann Teile dieses Kanalsystem zerstört bzw. überbaut. Der Park ist heute als Landschaftsschutzgebiet und Natura2000-Gebiet ausgewiesen und steht unter Denkmalschutz. Schloss Nymphenburg · München · Baudenkmal Kunst Garten Kanal · Wissen Read the full article
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arablit · 1 year ago
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After Postponed Launch of Arabic Poetry Anthology in Berlin, Editor Pulls Back
On October 5 of this year, Ghayath Almadhoun says, Haus für Poesie Berlin organizers sent him an email. In it, they told the Palestinian-Syrian poet that they were pleased that several contributors to the recently published anthology Kontinentaldrift – Das Arabische Europa had agreed to take part in the book’s launch event on December 11th. The event would be hosted by one of the collection’s…
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pixelsniper · 2 years ago
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Forum "Visual Alterity" (Berlin, 6-7 Oct 23)
Haus für Poesie, Knaackstr. 97, 10435 Berlin und im Kino in der Kulturbrauerei, Schönhauser Allee 36, 10435 Berlin, Oct 6–07, 2023Deadline: Oct 6, 2023 Das DOKUARTS Forum „Visual Alterity“ untersucht und präsentiert den filmischen Blick auf den Anderen. Wie formiert sich das Selbst in der Auseinandersetzung mit dem Anderen als Identität im Fluss? Welche ästhetischen Strategien zeichnen die…
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dunkelwort · 3 years ago
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Shavings (from a Pithecanthropus Erectus artefact)
Shavings (from a Pithecanthropus Erectus artefact)
Liner notes for a Pithecanthropus Erectus sketchbook, with a foreword by SJ Fowler, KDP, 2018 (Eng-Asemic) , ISBN 979-8640487855buy: barnes&noble | amazon.com | .uk • watch: YouTube • download: SJ Fowler’s review
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philosophenstreik · 3 years ago
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so voller poesie dieses buch namens kontinentaldrift auch ist, so sehr geht dem einband diese poesie ab... ein im endeffekt nichtssagender einband, der scheinbar absolut verschweigen will, dass man im innern auch verzaubert werden kann. leider wirkt dieser fast wie der deckel für einen behördlichen lagebericht... aber bitte bei diesem buch nicht auf das äußere achten - hier zählen ganz eindeutig die inneren werte!
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freenewstoday · 4 years ago
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New Post has been published on https://freenews.today/2021/03/21/world-poetry-day-how-the-art-form-is-going-digital-dw-21-03-2021/
World Poetry Day: How the art form is going digital | DW | 21.03.2021
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“For there is always light / if only we‘re brave enough to see it / if only if we‘re brave enough to be it.” — From “The Hill We Climb” by Amanda Gorman, 2021 Inaugural poet
Those closing lines by US poet Amanda Gorman sounded like a call to action to people witnessing her poised, uplifting performance at the Biden-Harris inauguration on January 20. Her words reminded us that there is a different narrative to feeling entrapped in the doom and gloom of a (former) Trump administration and the grip of a global pandemic.
It was a rallying cry urging us to pick up a pen (or laptop) and see the light; to put faith in democratic ideals and envision a better future.
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US poet laureate Amanda Gorman at the Biden-Harris inauguration in January 2021
Poetry unites
Poetry’s power in the contemporary world was not lost on UNESCO, when at a General Conference in Paris in 1999 it first adopted March 21 as World Poetry Day.
Aptly, it coincides with the beginning of Spring, at least in the Northern Hemisphere — when a sense of hope and renewal permeates the air.
“Poetry reaffirms our common humanity by revealing to us that individuals, everywhere in the world, share the same questions and feelings,” the UNESCO website reminds us.
“Arranged in words, colored with images, struck with the right meter, poetry has a power that has no match. This is the power to shake us from everyday life and the power to remind us of the beauty that surrounds us and of the resilience of the human spirit,” said Audrey Azoulay, UNESCO Director-General, on occasion of World Poetry Day in 2020.
The UNESCO celebratory day centerstages the literary form and promotes its reading, writing, publishing and teaching. With travel restricted and large public gatherings like literary readings and fairs canceled due to the pandemic, we can dust off and crack open those volumes of Shakespeare on our shelves or comb through the 24/7 net for poetry events.
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Learning about poetic traditions is part of the ‘Poetry Around the World’ project
Traveling the world of poetry
Google Earth’s “Poetry Around the World” multi-lingual platform joins forces with US literacy organization “Reading is Fundamental” to enable users to enjoy poetry from around the world. It zeros in on map locations that prompt pop-ups about poetic traditions in different countries, such as the haiku in Japan, limericks as popularized by British writer Edward Lear, and works such as I Am Loved for children by award-winning African American poet and civil rights activist Nikki Giovanni.
Partner project “Literacy Central” enables teachers and pupils to together dive into books and poetry written for children and young people, anything from The Classic Mother Goose Nursery Rhymes to Thirteen Moons on Turtle‘s Back: A Native American Year of Moons. Cross-word or memory puzzles can be created based on poems users read.
An international approach to poetry
The  Poetry International (PI) Festival in Rotterdam, the Netherlands, one of the major poetry festivals in Europe, has for over 50 years attracted poetry greats such as Pablo Neruda, Joseph Brodsky, Margaret Atwood, and Rita Dove as well as rising stars of the genre, like Sayaka Osaki of Japan and Zheng Xiaoqiong of China.
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Poetry International director Inez Boogaarts
Last year’s PI festival was canceled due to the pandemic, but “Poetry International’s online collection of works by poets from around the globe has expanded immensely over the past 20 years, making it one of the largest in the world,” PI director Inez Boogaarts told DW.
This year’s festival is slated for June and will be a mixture of live-streamed readings, interviews with poets and translators, and perhaps small, outdoor events.
Boogaarts said the pandemic makes planning for any festival difficult. “In the past, many visitors have come to the festival not only to hear poetry, but for the ambiance and to meet other people: that is normally half the fun of going to a festival. That is a completely different experience than participating on the computer,” she said.
Poetry among millennials and digital natives
The rise of rap music in the 1980s and the onslaught of slam poetry, spoken word and open mike performance events in the 1990s and 2000s demonstrated the interest, especially among young people, in the artistic medium. But the digital developments of the past two decades have been a major boon to poetry, taking it to a whole, new level.
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A poetry slam event in Germany in 2017
“Young people now have grown up with the internet, smartphones and especially, social media. For them, the internet a place for meeting other poets and poetry lovers around the world,” she noted.
“Poetry online has exploded in the past five years, even before the pandemic – from poetry blogs to online platforms to social media,” Boogaarts pointed out.
Poetry, social media & democracy
It makes the publication of poetry democratic, because people can self-publish. Also, “for young people, Instapoets are completely normal,” Boogaarts punctuated.
Take, for instance, Indian-born Canadian poet and illustrator Rupi Kaur, who enjoys over 4 million followers on Instagram. Considered one of the forerunners of Instapoetry, the now 28-year-old has become a star of the genre. Social media led to her fame, with her self-published poetry catapulting her onto The New York Times bestseller list and having sold over millions of copies worldwide. But it is her online presence that trumps. In 2019, The New Republic called her the “writer of the decade.”
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Indian-Canadian poet Rupi Kaur has a following of millions
She writes and posts, among other things, about the immigrant experience, relationships, femininity and trauma. Her third collection, home body, was published in November 2020, after she moved back to her parents’ house during the pandemic.
“Kaur cannily understands the contradiction that we want technology — in this case, a very powerful computer — to connect us to real people. She uses her verse, her drawings, her photographs, to give us persona, which is the next-best thing, and also an age-old poetic technique,” The New Republic wrote.
“[Kaur is] onto something: The canonical poetry most likely to endure the next century is the one that can fit comfortably within the glowing window we spend so much of our time gazing into,” The New Republic forecasted.
Countless contemporary poets meanwhile post videos of their work on YouTube and Instagram.
Actually reading poetry vs. a poetry event
The popularity of poetry on social media, however, is a far cry from the actual reading of it, says Michael Schmidt, founder and managing director of British publisher Carcanet. Among those of many poets around the world, the house publishes the works of US American Louise Glück, who garnered the Nobel Prize for Literature last year.
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Carcanet Press founder and director Michael Schmidt
“For the poetry reader rather than the poetry enthusiast who goes a certain distance and then is distracted by another fashionable thing (yes, poetry is rather fashionable at present), the experience of poetry is cumulative and slow, and it really can’t be usefully accelerated or it becomes diluted,” Schmidt told DW.
“We publish for readers. Zoom events have made a difference in terms of the discussion and presentation of poetry. We generally insist that the texts of poems be included in our zooms so the viewer can be a reader and not just a passive listener,” he said.
We are not alone
Publishers, especially small ones, and poets around the globe have had to tackle how to stay afloat without large gatherings like readings in auditoriums, without real audiences. It has meant, as in most spheres, communicating primarily on the internet. “But nothing, no online event, can replace a live reading — in person,” Thomas Wohlfahrt, director of Berlin’s Haus für Poesie (House for Poetry), told DW.
In these trying times, being online has been the next best thing; it has kept us all going. It has been our community. In Rupi Kaur’s words:
“you are not alone / alone would be if / your heart no longer beat / and your lungs no longer pulled / and your breath no longer pushed / how are you alone if / an entire community lives in you / you have all on your side” — From home body, by Rupi Kaur.
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